Première sortie seuls de la maison, jolie promenade, pratiqué les trois allures. Notre première sortie extravéhiculaire en somme.
Première sortie seuls de la maison, jolie promenade, pratiqué les trois allures. Notre première sortie extravéhiculaire en somme.
Je n’en reviens pas…
Cette fois-ci, c’est une chanson de Barbara qui sort. La pluie lave les chenaux, les rues, les trottoirs, les gens, les esprits.
Je souris en voyant la valse des parapluies chamarrés.
Ces mots de Prévert me viennent à la bouche. Je suis tellement heureux qu’il pleuve enfin. Je fais une forme de danse de la pluie, torse nu. C’est délicieux.
Première ballade d’Urga dans le parc (avec moi sur le dos et non pas Damien le moniteur). Chaque semaine, nous ajoutons une difficulté. Cette fois-ci, c’était de travailler en dehors du paddock où Urga a ses habitudes. C’est aussi, pour moi, de transposer dans les rênes et dans l’assiette tout ce que nous travaillons depuis deux ans et demi.
Tout s’est très bien passé. C’est étonnant comme Urga, même déstabilisée, fait confiance. Vraiment ce débourrage à la maison se déroule très bien. J’en suis bien heureux et pas peu fier.
Le cerisier dans le pré donne énormément cette année, contrairement aux années précédentes.
Fait un clafouti à ma façon, i. e. presque pas de farine et beaucoup d’œufs ce qui devient davantage un flanc.
Les cerises sont excellentes, concentrées en sucre et tiennent bien à la cuisson. Le clafouti est, comme pour beaucoup, un souvenir d’enfance. Notre voisine, Madame Petitou (ça ne s’invente pas), le faisait si bien et nous servait de grandes tranches encore tièdes.
Dans la suite du petit bonheur d’hier, une amie m’envoie ce bel alleliua vu plus de 32 millions de fois !
http://www.youtube.com/watch?v=SXh7JR9oKVE
Depuis, me dit-elle, elle arpente les galeries marchandes. Si vous la croisez, chantez lui quelque chose. Cela lui fera très plaisir.
... du pur bonheur !
http://www.youtube.com/watch?v=glgOuuDYprA&feature=youtube_gdata_player
Un jeune bien mis, iPhone et tout le toutim arrête un passant pour lui toper (comme on dit en Suisse) une clope. Le passant donne gentiment et s’éloigne. A ma stupeur, le jeune sort son paquet et range paisiblement sa cigarette !
J’hésite entre « on ne prête qu’aux riches » et « il n’y a pas de petites économies ».
Cette étonnante saison pousse déjà à s’habiller léger. Les premiers shorts et bermudas apparaissent. C’est la saison des mollets blancs.